Monsieur le Premier ministre, vous lancez un grand débat sur la fiscalité car vous êtes confronté au spectre du matraquage fiscal. Espérons qu’il n’aboutira pas à une nouvelle augmentation d’impôts !
Dans de nombreux domaines, votre souhait le plus cher est de permettre la concertation et le dialogue entre les différents acteurs : on ne peut que s’en satisfaire. Mais aujourd’hui, une réforme cristallise l’opinion contre elle : celle des rythmes scolaires.