Sur cette question, je voudrais vous préciser que, dans cette première étape, nous allons non pas lever les sanctions, mais les suspendre pour une durée de six mois. Cette suspension sera mise en oeuvre lorsque l’AIEA aura pu témoigner de l’application par l’Iran des mesures prévues dans l’accord concernant le nucléaire. L’ensemble des sanctions adoptées dans le cadre du Conseil de sécurité resteront donc en vigueur. Nous sommes vigilants ; nous allons contrôler que ce qui a été acté à Genève sera réellement mis en application. C’est le travail qui a été engagé par les États du cinq plus un, dont la France.