…vous me trouverez à vos côtés, comme, j’en suis sûr, beaucoup de mes collègues du groupe UMP, qui ne se sentent pas les héritiers – je veux le dire à M. Rousset qui, tout à l’heure, s’est laissé aller – de ceux qui ont jadis conduit le pays au désastre et au déshonneur, mais plutôt de ceux qui en ont maintenu l’honneur. Ils savent que dans la France libre et dans les maquis, il y avait des Français de droite et des Français de gauche.