Le débat paraît assez pointu, monsieur le ministre. Mais il ne l'est pas car, à un niveau très limité, nous posons la question de la TVA pour la compétitivité.
Nous évoquons la question d'une baisse des charges financée par un impôt indirect. C'est la seule façon, nous semble-t-il, de nous en sortir. Et j'ai l'impression que vous semblez y revenir. On attend le rapport de M. Gallois dont on a déjà un avant-goût dans la presse.
Pour ce qui concerne l'agroalimentaire et alors que vous admettez qu'il existe un problème de coût du travail dans ce secteur, qu'entendez-vous faire pour l'atténuer face à la concurrence intra-européenne et quel financement prévoyez-vous ?