Monsieur le président, bien qu'ayant retiré l'amendement que j'avais déposé sur cet article, j'ai souhaité prendre la parole. Je ne peux en effet m'empêcher à cet instant de pointer – le plus tranquillement possible, rassurez-vous – le bilan accablant de la précédente majorité en matière de financement de l'audiovisuel public, de France Télévisions en particulier, ces dix dernières années. (Exclamations sur les bancs du groupe UMP.)