Il s’agit de mettre fin à cette forme de supplice chinois auquel nos forces sont soumises. Comme les plans de suppression d’unités ne sont pas annoncés de manière globale et transparente, des malaises et des interrogations se font jour, y compris dans des unités qui ne sont pas du tout menacées. C’est pourquoi nous demandons que le ministère de la défense puisse faire part de ses intentions au plus tard dans les six mois suivant la promulgation de la présente loi. Je rappelle que toute fermeture doit donner lieu à préavis : d’un an pour les personnels militaires, de deux ans pour les personnels civils. Cela facilitera les choses de savoir ce qu’il en est.