Je salue l'amélioration, à hauteur d'un pour mille, du budget. Cela résulte pour l'essentiel d'une aggravation des impôts.
Lorsque Jean-François Lamour parle, monsieur le ministre, de déséquilibre, il n'a pas tort. Je m'inscris en faux contre ce que vous avez dit quant à la fiscalité des entreprises ; nous désapprouvons vos projets.
La réalité, c'est que la base fiscale va vous échapper.