Monsieur le ministre, nous arrivons effectivement là où les Athéniens s'atteignirent. Je crains que la maxime « il faut presser le citron jusqu'à ce que les pépins craquent » ne se vérifie. Faute de justice fiscale, la principale conclusion que l'on peut tirer de l'examen de ce texte, c'est que les entrepreneurs, malheureusement, vont être douloureusement frappés par les mesures votées, avec des effets irréversibles, notamment une fuite à l'étranger.