Tout d'abord, je ne peux, monsieur Le Fur, que réitérer l'engagement de vous adresser une réponse extrêmement précise et documentée pris par Jérôme Cahuzac. Comme ce n'est pas précisément la question que vous soulevez que nous discutons maintenant, je ne veux pas improviser.
Je n'ai pas l'intention de relancer le débat mais les orateurs de l'opposition ne cessent d'évoquer de possibles malheurs et de déplorer je ne sais quel exil. Je ne crois pas que ce soit une attitude extrêmement saine ; on ne souhaite pas malheur à son pays, et on ne souhaite pas que les investisseurs s'en aillent.