Pour l'instant, Goodyear a décidé de fermer, mais je ne me place pas dans cette hypothèse. Dès lors que le groupe a une responsabilité dans le conflit, il doit renoncer à son jusqu'au-boutisme. Pour lui, le coût d'une fermeture serait considérable. Le Gouvernement lui en voudrait. C'est pourquoi nous entendons reconstituer l'accord qui aurait pu être signé en 2012, ce qui, sur le plan juridique, demande de l'audace et de l'imagination. Nous n'en manquons pas, mais il faut que les parties nous y aident.