Afin que le bénéfice, calculé après impôt, soit le plus élevé possible – pour qu'il y ait plus de participation à distribuer aux salariés –, il faut que l'impôt sur les bénéfices soit le plus faible possible, d'où le besoin de prendre en compte les crédits d'impôt. Tel est bien votre raisonnement, monsieur le rapporteur général ?