Je sens un certain flottement dans les explications. D'un côté, on nous explique que le CIF joue un rôle essentiel et dispose de personnels compétents ; de l'autre, que les banques pourraient se substituer à lui pour 85 % de son activité. Est-ce à dire que tout le débat se résume à savoir si la puissance publique va prendre en charge les 15 % de cas les plus difficiles ?