Les exploitations fortement employeuses de main-d'oeuvre sont de vraies entreprises et vont entrer dans le mécanisme. L'agriculteur à son compte qui travaille avec un salarié passera à côté. Les grands bénéficiaires seront plutôt à l'aval et surtout dans les services. Ainsi, même si une partie de la filière agricole et agroalimentaire est bénéficiaire, je pense aux grandes enseignes, cet avantage ne sera pas répercuté sur l'amont de la filière. D'où l'intérêt d'États généraux de l'agriculture qui apporteraient une lecture globale sur tous ces sujets – fiscalité, aspects sociaux, réglementation.