Vous renoncez à mettre un coup d'arrêt à ce qui a causé la mort d'une grande partie de l'industrie de notre pays. Les entreprises vont produire ailleurs avec des coûts de main-d'oeuvre très éloignés des nôtres et réimportent ensuite sur le territoire national pour vendre avec des marges confortables pour la grande distribution. En fait, vous mettez fin à ce qui pouvait commencer à inverser la tendance.
J'ai pris bonne note, monsieur le ministre, que jamais, ô grand jamais, la majorité ne nous parlera d'augmenter la CSG – dont acte, c'est inscrit dans nos mémoires. Nous verrons bien.