Aujourd’hui, certaines dérogations sont indispensables, car certaines activités doivent obligatoirement se poursuivre le dimanche. Le deuxième constat du rapport Bailly, c’est que ces dérogations sont accordées dans un désordre juridique total. D’un côté de la rue, on ouvre ; de l’autre, non ! C’est la législation adoptée ces derniers temps qui a créé ce désordre !