Quant à nos avions ravitailleurs, vous attendez 2018 pour remplacer le premier de nos KC-135, alors que chacun sait que notre parc actuel de douze appareils ne sera plus opérationnel à cette date. Concrètement, cela signifie que notre armée de l’air devra se mettre sous la tutelle d’une puissance étrangère pour mener une opération à long rayon d’action. Cela n’est pas acceptable.