Il s'agit en effet d'un rapport de situation très allégé, comme je l'ai indiqué aux représentants de l'Union professionnelle artisanale (UPA). Dans les TPE-PME, il faut donner aux cadres la possibilité de travailler dans plusieurs structures, dans le cadre d'un temps partagé. Les personnes concernées y sont favorables, à condition de pouvoir anticiper leur évolution dans le cadre du bassin d'emploi et de la gestion prévisionnelle des emplois et des compétences (GPEC) dont tout le monde parle pour le territoire mais qu'il faudrait d'ores et déjà appliquer dans l'entreprise. Or aucun dispositif n'oblige les entreprises à se doter d'une GPEC. C'est pourquoi nous voulons la rendre obligatoire, au même titre que la NAO.