S'il semble en effet difficile de réaliser, dans un délai rapide, la conversion de l'ensemble des terrains agricoles français en agriculture biologique, celle-ci doit demeurer l'objectif vers lequel il faut tendre, en termes de santé publique comme de biodiversité. Si le texte ne la mentionne pas, il est à craindre que l'agroécologie, qui s'apparente à de l'agriculture raisonnée, ne trouve pas sa juste place – alors qu'il ne doit s'agir que d'une étape dans un processus plus vaste.