Cet amendement est notamment défendu par les coopérateurs, qui font valoir que les contraintes de remontée d'information sur la consommation d'antibiotiques prévues par le projet de loi ne respectent pas les contraintes des professionnels, qu'il s'agisse des fabricants d'aliments ou des groupements de producteurs. Ces remontées d'information sont en outre déjà prévues dans le cadre du plan Écoantibio.