Nous veillerons à ce que cette crainte soit dissipée. Le financement doit être maintenu partout où est menée une action de développement forestier. Quant au cofinancement, qui ne peut être apporté que s'il existe un financement national, il restera assuré non seulement par les CRPF et les chambres d'agricultures, mais aussi par les conseils régionaux. Le solde des centimes forestiers devra, lui, être consacré aux « déserts » sans PPRDF. Dans de nombreuses régions de France, les responsables me disent qu'ils ne peuvent rien faire, tout l'argent nécessaire ayant été « aspiré ».