Monsieur Accoyer, le début de votre intervention n'avait rien à voir avec l'audition de M. Giorgi et je ne comprends pas votre ton accusateur. En raison de l'actualité et face à l'inquiétude de nos concitoyens, un autre président de commission avait également demandé cette audition, mais nous n'avons à aucun moment conclu que M. Séralini détenait la vérité !