Il est vrai, monsieur le ministre, qu’un texte sur la consommation doit traiter d’un certain nombre de sujets divers. Vous vouliez vous en tenir à des généralités, mais vous avez été obligé de traiter des sujets particuliers. C’est le propre du droit de la consommation, et cela répond aux attentes de nos concitoyens. Mais de là à y mettre tout et n’importe quoi !