Monsieur le ministre, vous le savez très bien, j’ai insisté à plusieurs reprises. J’ai proposé d’élargir le débat, de réunir autour de la table tous les acteurs concernés – pharmaciens, sages-femmes, gynéco-obstréticiens, Planning familial – pour élucider les raisons qui freinent l’accès aux tests de grossesse et d’ovulation.
Bref, si la commission ne s’est pas auto-saisie, c’est parce que je pensais réellement, monsieur le ministre, que vous alliez revenir à la raison et laisser la commission des affaires sociales garder la main sur ces sujets au cours des six mois à venir.