Les Français travaillent un peu moins longtemps que leurs voisins, mais plus efficacement ; ils sont donc compétitifs, ce qui est une bonne nouvelle.
Comment évolue la part des biens à forte valeur ajoutée dans la production française globale ? Si leur proportion diminue, est-ce dû à un problème de coût, de formation, de stratégie, de concurrence internationale ? Les coûts de production évoluent-ils lorsque la part de la production à forte valeur ajoutée varie ? L'enjeu réside-t-il dans la réduction de ces coûts ou dans l'acceptation de leur niveau pour permettre la production de biens à forte valeur ajoutée et le renforcement d'un modèle hautement compétitif ?