J’accepte de retirer mes amendements nos 401 et 400 au profit de l’amendement no 476 de M. Da Silva. Au passage, je souligne tout de même qu’il y a un incroyable paradoxe à voir un élu de l’Essonne, un rapporteur et un ministre qui, tout en soutenant le principe d’une métropole censée régler tous les problèmes de l’Île-de-France, reconnaissent que les communes de la grande couronne feraient bien d’en sortir immédiatement.