…pas plus que l’opposition.
Monsieur le Bouillonnnec, c’est un aveu supplémentaire qui va servir au débat que nous aurons ensuite puisque ce texte sera transmis au Conseil constitutionnel avant de discuter de sa mise en oeuvre. Bien sûr, nous allons travailler dans la préfiguration.
Monsieur Bachelay, je ne vous dénie pas le droit d’amender le texte.