Cet amendement vise à permettre aux journalistes d'accompagner les parlementaires dans les centres de rétention et les zones d'attente mais également dans les locaux de garde à vue. Le citoyen doit pouvoir savoir ce qui se passe dans ces lieux de privation de liberté ; les parlementaires et les journalistes doivent les en informer. Bien sûr, nous n'ignorons pas les obstacles qu'il a fallu vaincre pour imposer que les avocats puissent accéder à ces locaux dès la première heure de garde à vue…