D'autres posent la question de l'enfant qui désire retrouver son père, même s'il est l'auteur d'un crime sur la personne de la mère. Je maintins qu'il faut laisser au juge l'appréciation de la situation.
Concernant la recommandation portant sur les protocoles de partenariat pour la prise en charge des victimes, pourquoi mentionnez-vous le « conseil général » particulièrement et non les autres collectivités ? La région ou la ville ne peuvent-elles s'impliquer selon les cas ?