Trois pour cent des terres de notre pays sont cultivées en agriculture biologique, mais elles sont tellement éparpillées qu'il s'en trouve pratiquement dans toutes les communes, ce qui rend l'avis conforme impossible. Je vous soumettrai dans quelques instants un amendement tendant à protéger l'agriculture biologique en prévoyant que, dans les cas où les sociétés d'aménagement foncier et d'établissement rural interviennent, priorité soit donnée, quand il s'agit de terres exploitées en agriculture biologique, à celui ou à celle qui s'engagera à continuer le même type de culture pendant dix ans.