Lors de l'examen de la loi pour l'accès au logement et à un urbanisme rénové, j'ai proposé un amendement qui, de mémoire, a été adopté, et qui tend à neutraliser une partie des zones de déprise agricole pour les destiner à l'implantation éventuelle de hameaux afin que l'on cesse d'empiéter sur les terres mécanisables pour renouveler l'habitat dans les villages. Par ailleurs, je suis scandalisé que des zones de plaines fertiles soient désormais consacrées à la pension de chevaux – parce que c'est d'un meilleur rapport que l'agriculture –, quand on a tant de peine à trouver des espaces propres à la culture en montagne.