Si je me permets d’apporter toutes ces précisions, c’est parce que nous savons aujourd’hui qu’une partie de nos concitoyens ont véritablement besoin de lunettes mais n’ont pas accès à ce produit pour des raisons financières. Nous ne pouvons pas rester inactifs quand nous nous apercevons qu’un certain nombre de nos concitoyens renoncent à des soins pour des raisons uniquement financières.