Nous sanctuarisons le parcours de santé, mais sanctuariser ce parcours ne signifie pas qu’il ne faille pas faire en sorte que demain les lunettes soient moins chères. Je reprends l’argument de M. Hammadi, auquel personne ne répond sur vos bancs : depuis 2000, le nombre de points de vente a augmenté de 47 %, alors que la demande n’a augmenté que de 13 %. Incontestablement, la concurrence à laquelle se livrent les complémentaires santé a fait augmenter, pour tous, les prix du marché.