Ils plaidaient évidemment la même cause que vous, une cause à la fois économique et pédagogique, comme vous le souligniez à juste titre, et c’est un équilibre toujours difficile à tenir.
C’est la raison pour laquelle j’ai demandé que nous apportions des réponses rapides aux deux questions que vous posez. Je souhaite que le Conseil supérieur de l’éducation se réunisse en janvier prochain afin qu’on revienne sur les semaines tronquées des vacances de février – le fait que celles-ci commencent en milieu de semaine constitue une difficulté majeure – et qu’on évite que les vacances de Pâques mordent ainsi sur le mois de mai, une dérive qui s’amplifiait avec la troisième année du calendrier. Telles sont les réponses que je souhaitais vous apporter.
À présent, j’aimerais que nous soyons capables d’apporter de meilleures réponses sur le long terme. Ainsi que je l’avais déjà annoncé, je souhaite que nous menions en 2015 une réflexion d’ensemble sur le calendrier de l’année et sur le zonage afin de résoudre durablement la question des vacances de Pâques et des vacances d’été.