Je soutiens ce projet qui dépasse largement les frontières de notre pays, tout comme le TGV Lyon-Turin. Je le fais au nom de toutes les populations des vallées alpines qui subissent les nuisances du trafic routier, notamment de la vallée de l'Arve qui mène au tunnel du Mont-Blanc et que traversent 1 700 poids lourds par jour. Je le fais aussi en pensant à la qualité de l'air qui représente, pour nous, Français et Européens, un défi considérable, et dont les grandes infrastructures de transport sont une condition de l'amélioration.