Monsieur le ministre, votre récit de la négociation avec l'Iran a attisé plus encore ma curiosité. Je serais, et quelques autres avec moi, notamment très désireux de connaître le premier texte qui avait été présenté, d'une part, pour parfaire ma culture diplomatique, d'autre part, en vue peut-être de populariser des progrès obtenus grâce à l'intervention française. Du reste, des députés bien informés, c'est l'assurance de bonnes relations entre le Parlement et le Gouvernement.