Vous avez signalé dans le document intitulé Les bons réflexes – document indiscutablement utile car il est vrai qu'on ne sait pas toujours qui contacter lorsque l'on est confronté à une situation de mariage forcé – que lorsqu'une personne est ressortissante française mais détient une autre nationalité et qu'elle est contrainte de se marier dans le pays dont elle a aussi la nationalité, l'aide des autorités consulaires françaises peut s'avérer limitée. Pouvez-vous nous expliquer cela ?