J'ai moi-même été confrontée au cas d'une jeune fille rentrée en France dans un état de désarroi et d'abandon qui lui faisait presque regretter sa décision. Au-delà du retour en France – qui est un motif de satisfaction pour la personne –, il faut reconnaître qu'elle peut se retrouver complètement démunie et rejetée par son entourage. Elle peut même s'interdire de retourner dans son quartier en raison des risques qui pèsent sur elle.
Je ne sais si les associations – Voix de Femmes, GAMS, Planning familial, par exemple – ont la capacité et les moyens d'accompagner ces femmes.