C'est à la demande du cabinet de la garde des Sceaux, et non à l'initiative de ma direction, que nous avons envoyé, le 1er février, le deuxième courriel au parquet général, l'interrogeant sur le contenu de la demande adressée par la DGFIP aux autorités helvétiques.
Le parquet général a profité de cette occasion pour solliciter notre expertise juridique.