Lors de son audition, j'ai posé au procureur de Paris, François Molins, la question suivante : « Trouvez-vous normal, alors qu'une enquête préliminaire est ouverte, que l'administration fiscale ait poursuivi ses investigations, notamment en formulant une demande d'échanges d'informations auprès de la Suisse ? ». Sa réponse a été la suivante : « Clairement, non. »