Il est vrai qu'à la question : « Cette démarche administrative a-t-elle retardé la procédure judiciaire ? », M. Molins a répondu : « Absolument pas. ».
Nous comprenons mieux le cheminement de l'information : elle va du procureur au procureur général, puis à la Direction des affaires criminelles et des grâces, et enfin au cabinet. Vous nous l'avez dit, la procédure a été strictement respectée. Mais avez-vous eu, directement ou par l'intermédiaire d'un de vos collaborateurs, des contacts avec le procureur de Paris ?