Intervention de Antoine Herth

Séance en hémicycle du 7 janvier 2014 à 15h00
Agriculture alimentation et forêt — Motion de rejet préalable

Photo issue du site de l'Assemblée nationale ou de WikipediaAntoine Herth :

Ils auraient pu ajouter que le marché intérieur européen, c’est bien, mais qu’il ne faut pas oublier le marché mondial, débouché qui est depuis longtemps une réalité pour le vin et les céréales français. De nouvelles perspectives se présentent aujourd’hui à d’autres secteurs, par exemple le lait. Alors que le prix qui a cours en France est de l’ordre de 320 euros par tonne, des volumes importants peuvent être exportés vers des pays tiers pour 400 euros, voire 500 euros par tonne. Qu’attendons-nous pour saisir ces occasions alors que l’heure de la fin des quotas approche ? Qu’attendez-vous, monsieur le ministre, pour expliquer à vos amis que le monde a changé et que la notion de marché n’est pas univoque ? Qu’attendez-vous pour proposer un texte qui redonne de l’élan à la ferme France ?

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