Telle est la réponse que je souhaitais apporter. Ces débats méritent mieux qu’une caricature. Si je respecte les positions avancées par chacun, je regrette que certains s’en tiennent à des poncifs et considèrent, comme vous l’avez fait tout à l’heure, qu’il y a d’un côté ceux qui s’occupent des poules et des lapins et, de l’autre, ceux qui suivent la question de l’exportation. Nous nous soucions tous ici de l’avenir de l’agriculture française.