M. le ministre avait d’ailleurs déjà annoncé à Cournon-d’Auvergne, lors du sommet de l’élevage, le rééquilibrage des aides entre les céréaliers et les éleveurs. À cet égard, nous n’avons pas peur de prendre nos responsabilités car cela était absolument indispensable compte tenu des revenus observés sur nos territoires.
Quand il n’y a plus de paysans, il n’y a plus de territoires. Or vous avez employé une seule fois le mot « paysan », ce qui a d’ailleurs dû être difficile pour vous, car vous préférez parler d’« agromanagers » lorsque vous évoquez cette profession.