Il y a deux raisons. La première, longuement développée par Laure de la Raudière, a trait aux insuffisances du texte, notamment en matière de compétitivité. Je reprendrai ce thème ce soir dans mon intervention en discussion générale, mais si vous voulez, monsieur le ministre, assurer l’avenir du secteur de l’agriculture, comme celui de tous les autres, il faut qu’il soit compétitif, non pas sur les marchés franco-français ou franco-européen, mais sur l’ensemble des marchés mondiaux.
La deuxième raison tient aux propos du Président de la République fin décembre et que vous avez tous écoutés, chers collègues.