Les maisons familiales et rurales et les formations agricoles doivent elles aussi s’adapter, puisque notre monde, s’il n’est plus en crise, est en mutation. Or, qui dit mutation dit adaptation de la nature humaine ; pour ce faire, nos jeunes pousses, grâce à l’enseignement agricole – qui est le laboratoire de l’agriculture de demain – doivent voir large. Il faut jeter des passerelles entre les différentes filières de cet enseignement, afin de faciliter l’accès à la profession d’agriculteur, car nous avons besoin d’agriculteurs en France, d’abord parce que nous aimons les agriculteurs et l’agriculture, et parce que nous savons ce que la France leur doit.