Je répondrai brièvement à M. Accoyer que j'ai entendu parler tout à l'heure de « l'arrogance » que nous aurions à nous interroger et à nous inquiéter quant aux effets de ces boissons énergisantes.
Si M. Accoyer m'y autorise, je prendrai appui sur une expérience de ma vie antérieure. À la demande de Mme Bachelot, j'ai procédé à l'évaluation du programme national nutrition santé pour le compte de l'IGAS. Mais peut-être n'ai-je pas le droit, sous peine de créer un conflit d'intérêts, de parler des missions que j'ai eu l'honneur de réaliser pour des gouvernements de gauche comme de droite…