Monsieur le président, mesdames, messieurs les députés, monsieur le député Philippe Gosselin, j’ai bien les yeux ouverts, mais j’ai du mal à en croire mes oreilles : la caricature que vous venez de dresser de la situation de la justice et qui vise à me mettre en cause, non seulement déshonore en réalité une parole publique mais, surtout, met en cause les personnels de justice.