J’espère, monsieur le député, que le président Chassaigne vous a entendu : c’est reparti ! Selon vous, ces dispositions sont hostiles aux professionnels de l’immobilier, lesquels sont méprisés, etc… Je pense vraiment qu’il faut raison garder. Ainsi que le rapporteur vient de l’indiquer de manière très détaillée, ce texte est une loi de progrès, une loi qui améliore la transparence des relations. L’article 1er en fait partie, ces dispositions également. Je ne partage absolument pas ce que vous avez dit, cela va de soi. Je répète que le recours aux professionnels est une bonne chose : c’est pourquoi il faut qu’ils soient davantage formés et davantage contrôlés – le président de la FNAIM lui-même a dénoncé les « braconniers de l’immobilier » – afin qu’ils puissent travailler de manière extrêmement sereine, avec un niveau de rémunération correspondant aux prestations réellement effectuées. Voilà ma position ! Les abus doivent cesser, c’est tout le sens de l’article 1er. Je maintiens donc qu’il s’agit de dispositions équilibrées. Avis défavorable.