Vous me permettrez, monsieur Chassaigne, de relever le dicton que vous venez de citer – je connais d’ailleurs davantage cette version que la précédente : « Qui paie les violons choisit la musique. » C’est une démonstration de l’intérêt du fait que les honoraires soient payés par les deux parties. En effet, s’il n’y a que le propriétaire qui paie les violons, c’est lui qui choisit la musique !