En conséquence, c’est lui qui a barre sur l’intégralité de l’élaboration des documents. Je pense qu’il est beaucoup plus sain que le professionnel, qui aura d’ailleurs des obligations en matière de formation à l’issue de l’adoption de la loi ALUR, soit redevable à l’égard des deux parties. Curieusement, votre formule démontre l’inverse de ce que vous voulez défendre.